Zoran Zekic: Le résultat de la confrontation a été décidé dans le match aller
L'entraîneur-chef du FC Sheriff Zoran Zekic a répondu aux questions concernant le match contre Saburtalo et a laissé la conférence de presse sous les applaudissements des journalistes géorgiens:
- Tout d'abord, je veux féliciter le FC Saburtalo. Je veux également féliciter mon équipe pour un bon match. Si dans le match aller mon équipe avait joué à 50% comme aujourd'hui, j’aurais été beaucoup plus heureux aujourd'hui. Aussi, je voudrais mentionner que je suis surpris par le jeu de numéro 10 de l'adversaire. C’est un football extraordinaire.
Le numéro 10 c’est Kokhreidze. Il a été taclé par vos joueurs.
- Il sait prendre des décisions très rapidement et nous n’avons pas toujours réussi à tenir son rythme. C'est une seule explication. Nous n'avons donné aucune instruction à ce sujet.
Donc, vous joueurs ne l’ont pas fait exprès?
- Bien sur que non. Personne ne joue pas d’une manière dure dans le football moderne. Nous étions en retard et il a rapidement pris des décisions. C'est son niveau de football qui a conduit à des violations.
Pourquoi Sheriff n’a pas réussi?
- Je pense que nous avons tout perdu lors du match aller. Nous avons joué très lentement, sans agression, sans combats simples. L’adversaire a joué très vite. Aujourd'hui, pendant les 10 premières minutes, nous avons marqué 3 buts et nous avons encore eu quelques occasions de but. C’est difficile à supporter un tel rythme pendant tout le match. De plus, cinq joueurs ont rejoint l’équipe il y a seulement 20 jours. C'est une moitié de la composition. C’est pourquoi je dis que l'issue de la confrontation a été décidée lors du match aller.
Pensiez-vous possible de marquer trois buts dans les 10 premières minutes?
- Bien sur que non. Je n’y pensais pas. La mentalité d'un joueur est la même non seulement en Moldavie mais aussi en Géorgie. Je pense que les joueurs de Saburtalo ont perdu leur concentration après la victoire dans le match aller. C’est le problème de nombreuses équipes. L’entraîneur de Saburtalo a probablement averti ses joueurs. Mais nous sommes des êtres humains. Je dis beaucoup à mes joueurs mais ils continuent à faire les mêmes erreurs.
Nous pensons que vous êtes satisfait du jeu de votre équipe. Comment voyez-vous les prochains matches de l’Europa Ligue?
- Dans la vie de chaque homme, il y a des femmes qu’on aime vraiment. Après 2-3 rendez-vous, on pense que c’est le moment quand on peut l’embrasser. Mais elle part subitement pour une autre ville. Par conséquent, je ne peux pas être satisfait. En ce qui concerne les matches de l’Europa Ligue, je pense que nous ne devons pas parler, nous devons travailler en silence.
Sheriff était considéré comme le favori. Est-ce que l'échec va vous toucher?
- Ce n’est pas pour la première fois dans le football que le favori ne gagne pas. C'est le football. Nous devons nous efforcer d’être meilleurs chaque jour. Ce n'est pas la première fois dans la vie de quiconque. J’ai suivi les matches de Saburtalo, nous avons fait l’analyse des matches mais lors du match aller nous n’avons pas réussi. C’est probablement la faute de l’entraîneur, parce qu’il est le premier à prendre une responsabilité.
Service de presse du FC Sheriff
- Tout d'abord, je veux féliciter le FC Saburtalo. Je veux également féliciter mon équipe pour un bon match. Si dans le match aller mon équipe avait joué à 50% comme aujourd'hui, j’aurais été beaucoup plus heureux aujourd'hui. Aussi, je voudrais mentionner que je suis surpris par le jeu de numéro 10 de l'adversaire. C’est un football extraordinaire.
Le numéro 10 c’est Kokhreidze. Il a été taclé par vos joueurs.
- Il sait prendre des décisions très rapidement et nous n’avons pas toujours réussi à tenir son rythme. C'est une seule explication. Nous n'avons donné aucune instruction à ce sujet.
Donc, vous joueurs ne l’ont pas fait exprès?
- Bien sur que non. Personne ne joue pas d’une manière dure dans le football moderne. Nous étions en retard et il a rapidement pris des décisions. C'est son niveau de football qui a conduit à des violations.
Pourquoi Sheriff n’a pas réussi?
- Je pense que nous avons tout perdu lors du match aller. Nous avons joué très lentement, sans agression, sans combats simples. L’adversaire a joué très vite. Aujourd'hui, pendant les 10 premières minutes, nous avons marqué 3 buts et nous avons encore eu quelques occasions de but. C’est difficile à supporter un tel rythme pendant tout le match. De plus, cinq joueurs ont rejoint l’équipe il y a seulement 20 jours. C'est une moitié de la composition. C’est pourquoi je dis que l'issue de la confrontation a été décidée lors du match aller.
Pensiez-vous possible de marquer trois buts dans les 10 premières minutes?
- Bien sur que non. Je n’y pensais pas. La mentalité d'un joueur est la même non seulement en Moldavie mais aussi en Géorgie. Je pense que les joueurs de Saburtalo ont perdu leur concentration après la victoire dans le match aller. C’est le problème de nombreuses équipes. L’entraîneur de Saburtalo a probablement averti ses joueurs. Mais nous sommes des êtres humains. Je dis beaucoup à mes joueurs mais ils continuent à faire les mêmes erreurs.
Nous pensons que vous êtes satisfait du jeu de votre équipe. Comment voyez-vous les prochains matches de l’Europa Ligue?
- Dans la vie de chaque homme, il y a des femmes qu’on aime vraiment. Après 2-3 rendez-vous, on pense que c’est le moment quand on peut l’embrasser. Mais elle part subitement pour une autre ville. Par conséquent, je ne peux pas être satisfait. En ce qui concerne les matches de l’Europa Ligue, je pense que nous ne devons pas parler, nous devons travailler en silence.
Sheriff était considéré comme le favori. Est-ce que l'échec va vous toucher?
- Ce n’est pas pour la première fois dans le football que le favori ne gagne pas. C'est le football. Nous devons nous efforcer d’être meilleurs chaque jour. Ce n'est pas la première fois dans la vie de quiconque. J’ai suivi les matches de Saburtalo, nous avons fait l’analyse des matches mais lors du match aller nous n’avons pas réussi. C’est probablement la faute de l’entraîneur, parce qu’il est le premier à prendre une responsabilité.
Service de presse du FC Sheriff