Yuri Vernidub: Tout d'abord, il faut rester professionnel
Yuri Nikolaevic, comment se passe l'adaptation des joueurs?
- Tout va bien. Les conditions au complexe sont excellentes. On a eu beaucoup de joueurs en test ici mais, à mon avis, nous avons choisi la composition. Ce stage d’entraînement à Tiraspol a été très fructueux.
Est-ce que le fait que l'équipe a eu son stage d’entraînement à Tiraspol au lieu de Turquie a changé le processus de formation?
- Tout d’abord, je veux dire que nous n’y sommes pas allés parce que beaucoup d’anciens joueurs sont partis. L'équipe a été renouvelée de près de 50 à 60, voire 70%. Pour aller au camp d'entraînement en Turquie, il faut déjà avoir une équipe. Rester à Tiraspol était la meilleure option, d'autant plus que nous avons de bonnes conditions, un magnifique stade couvert. Il est clair que le synthétique et le gazon naturel sont deux choses différentes. Même ce facteur est un avantage pour nous. Dans le championnat de Moldavie, pour autant que je sache, il est permis de jouer sur gazon synthétique jusqu'au 1er avril. Les premières journée du championnat, les 20 et 24 février, les 1er et 6 mars, je pense, se tiendront sur le gazon synthétique.
Est-ce que le niveau adversaires est important pour le satge d’entraînement?
- Bien sûr, au camp d'entraînement en Turquie, il y a des adversaires également des clubs européens, d'Ukraine, de Russie. Mais nous avons fait connaissance avec les équipes du championnat moldave. Les matches auxquels nous avons joué étaient aussi une connaissance pour moi en tant qu'entraîneur. Et les nouveaux joueurs ont également fait connaissance avec les équipes locales.
L’adaptation des joueurs c’est un processus compliqué et important.
- Je vous dirai autre chose - c'est aussi une nouveauté pour moi qu'il y a beaucoup de joueurs dans l'équipe de tous les continents, des pays européens. C’est une équipe internationale. C'est aussi une école pour moi. J’ai l’occasion d'améliorer la langue anglaise. Dieu merci, nous avons des traducteurs. Bien sûr, tout les joueurs ne savent pas parler anglais mais nous avons également des traducteurs qui aident à communiquer, par exemple avec les Colombiens. Nous apprendrons l'anglais plus rapidement. Cela permettra comprendre les uns les autres plus rapidement.
On dit que Yuri Vernidub est un entraîneur très exigeant. Êtes-vous satisfait du travail effectué?
- Les joueurs respectent toutes les directives et taches du staff technique. L'attitude des footballeurs à l'égard du processus de formation est magnifique. Au cours de notre stage d’entraînement, je pense que nous avons pu établir les bases, préparer physiquement les joeurs, affiner la tactiques. Il reste à donner vie à tout cela.
La question suivante concerne le dernier match. Il semblait de la tribune que vous avez demandé, malgré le score élevé, de terminer le match au même niveau. Est-ce vrai?
- Vous avez raison. Je crois que n'importe quel match - qu'il soit amical ou officiel, nous devons commencer et finir de la même manière. Malgré le score, nous devons accomplir les tâches et tout le plan de match. Il faut rester un professionnel et aller jusqu’au bout. C’est pourquoi j’ai corrigé les fautes et le comportement des certains joueurs, c’est pourquoi j’ai fait des substitutions. Tout d'abord, il faut rester professionnel. Nous, les entraîneurs, devons également traiter notre travail de manière professionnelle.
Service de presse du FC Sheriff
À suivre
- Tout va bien. Les conditions au complexe sont excellentes. On a eu beaucoup de joueurs en test ici mais, à mon avis, nous avons choisi la composition. Ce stage d’entraînement à Tiraspol a été très fructueux.
Est-ce que le fait que l'équipe a eu son stage d’entraînement à Tiraspol au lieu de Turquie a changé le processus de formation?
- Tout d’abord, je veux dire que nous n’y sommes pas allés parce que beaucoup d’anciens joueurs sont partis. L'équipe a été renouvelée de près de 50 à 60, voire 70%. Pour aller au camp d'entraînement en Turquie, il faut déjà avoir une équipe. Rester à Tiraspol était la meilleure option, d'autant plus que nous avons de bonnes conditions, un magnifique stade couvert. Il est clair que le synthétique et le gazon naturel sont deux choses différentes. Même ce facteur est un avantage pour nous. Dans le championnat de Moldavie, pour autant que je sache, il est permis de jouer sur gazon synthétique jusqu'au 1er avril. Les premières journée du championnat, les 20 et 24 février, les 1er et 6 mars, je pense, se tiendront sur le gazon synthétique.
Est-ce que le niveau adversaires est important pour le satge d’entraînement?
- Bien sûr, au camp d'entraînement en Turquie, il y a des adversaires également des clubs européens, d'Ukraine, de Russie. Mais nous avons fait connaissance avec les équipes du championnat moldave. Les matches auxquels nous avons joué étaient aussi une connaissance pour moi en tant qu'entraîneur. Et les nouveaux joueurs ont également fait connaissance avec les équipes locales.
L’adaptation des joueurs c’est un processus compliqué et important.
- Je vous dirai autre chose - c'est aussi une nouveauté pour moi qu'il y a beaucoup de joueurs dans l'équipe de tous les continents, des pays européens. C’est une équipe internationale. C'est aussi une école pour moi. J’ai l’occasion d'améliorer la langue anglaise. Dieu merci, nous avons des traducteurs. Bien sûr, tout les joueurs ne savent pas parler anglais mais nous avons également des traducteurs qui aident à communiquer, par exemple avec les Colombiens. Nous apprendrons l'anglais plus rapidement. Cela permettra comprendre les uns les autres plus rapidement.
On dit que Yuri Vernidub est un entraîneur très exigeant. Êtes-vous satisfait du travail effectué?
- Les joueurs respectent toutes les directives et taches du staff technique. L'attitude des footballeurs à l'égard du processus de formation est magnifique. Au cours de notre stage d’entraînement, je pense que nous avons pu établir les bases, préparer physiquement les joeurs, affiner la tactiques. Il reste à donner vie à tout cela.
La question suivante concerne le dernier match. Il semblait de la tribune que vous avez demandé, malgré le score élevé, de terminer le match au même niveau. Est-ce vrai?
- Vous avez raison. Je crois que n'importe quel match - qu'il soit amical ou officiel, nous devons commencer et finir de la même manière. Malgré le score, nous devons accomplir les tâches et tout le plan de match. Il faut rester un professionnel et aller jusqu’au bout. C’est pourquoi j’ai corrigé les fautes et le comportement des certains joueurs, c’est pourquoi j’ai fait des substitutions. Tout d'abord, il faut rester professionnel. Nous, les entraîneurs, devons également traiter notre travail de manière professionnelle.
Service de presse du FC Sheriff
À suivre