Mateo Muzek: Je veux faire partie de la composition le plus vite possible
Première interview du défenseur croate du FC Sheriff Mateo Muzek:
Mateo, pourquoi as-tu choisi Sheriff?
- Sheriff est un multiple champion de Moldavie et ce club participle chaque année dans les matches de la Ligue des champions et de l’Europa Ligue. C'est un club fort pour lequel je veux jouer. Je veux faire partie de la composition le plus vite possible. Je comprends qu'il y a une concurrence. Mais c’est le seul moyen de progresser.
Que savez-vous de notre équipe?
- J'ai regardé les matches de la Ligue des champions quand Sheriff jouait contre Dinamo Zagreb. Beaucoup de mes compatriotes joueunt ici. Je connais, par exemple, Antun Palic - nos pères ont joué au football ensemble, je le connais donc très bien. Matej Palčić m’est également connu depuis le championnat de Slovénie, lorsque j’ai joué pour le FC Rudar Velenje. Je connais également l’entraîneur-chef. Je sais qu’il a fait du bon travail au FC Osijek qui a obtenu de bons résultats dans les compétitions européennes et dans le championnat de Croatie.
Où as-tu appris le russe?
- Au Kazakhstan, j'ai joué pour Shakhtar Karaganda. C'est là que j'ai appris la langue russe. Je ne veux pas me vanter, mais j'ai une très bonne maîtrise de la langue.
On sait que tu es né en Autriche. Pourquoi n'as-tu pas choisi, par exemple, la nationalité autrichienne?
-Pour obtenir la citoyenneté de l’Autriche il est nécessaire de respecter certaines conditions. Par exemple, vivre quelque temps dans ce pays. Comme mon père jouait en Croatie à l'époque, je devais suivre le chef de famille.
Dans quelques jours, nous jouons nos premiers matches de la Ligue des champions. Qu'en penses-tu?
- Ce sera certainement difficile. Nous ne devons pas penser de deuxième tour maintenant, nous devons être bien concentrés sur l’équipe géorgienne. À mon avis, c’est une approche juste et professionnelle.
A votre avis, quel est le sens de football?
- Devenir un champion quelle que soit la ligue.
Notre équipe compte de nombreux Croates. A ton avis, est-ce un avantage pour toi?
- Cela ne donne pas un grand avantage. D'une part, il n’y a pas de barrières linguistiques et les connexions au sein de l'équipe sont établies plus rapidement. D'autre part, l'entraîneur demandera des efforts immences de ma part. Et si vous ne justifiez pas ses priorités, la compétition au sein de l’équipe fera son travail.
Tu as joué en Écosse. Quelles sont tes souvenirs de cette période de ta carrière?
- Support exceptionnel des supporters au stade, des traditions uniques qui donnent au football local une saveur inoubliable.
En Moldavie, les supporters ne sont pas tellement actifs.
- En Bretagne, il s’agit d’une tradition qui existe depuis plus d’un siècle. Les enfants sont élevés dans cet esprit, puis continuent à élever leurs enfants de la même manière. Dans les autres pays, il n’y a pas de telles traditions et, si je comprends bien, en Moldavie également. Il reste à montrer un beau football et marquer plus de buts. Peut-être nous attirerons plus de fans à nos côtés.
Service de presse du FC Sheriff
Mateo, pourquoi as-tu choisi Sheriff?
- Sheriff est un multiple champion de Moldavie et ce club participle chaque année dans les matches de la Ligue des champions et de l’Europa Ligue. C'est un club fort pour lequel je veux jouer. Je veux faire partie de la composition le plus vite possible. Je comprends qu'il y a une concurrence. Mais c’est le seul moyen de progresser.
Que savez-vous de notre équipe?
- J'ai regardé les matches de la Ligue des champions quand Sheriff jouait contre Dinamo Zagreb. Beaucoup de mes compatriotes joueunt ici. Je connais, par exemple, Antun Palic - nos pères ont joué au football ensemble, je le connais donc très bien. Matej Palčić m’est également connu depuis le championnat de Slovénie, lorsque j’ai joué pour le FC Rudar Velenje. Je connais également l’entraîneur-chef. Je sais qu’il a fait du bon travail au FC Osijek qui a obtenu de bons résultats dans les compétitions européennes et dans le championnat de Croatie.
Où as-tu appris le russe?
- Au Kazakhstan, j'ai joué pour Shakhtar Karaganda. C'est là que j'ai appris la langue russe. Je ne veux pas me vanter, mais j'ai une très bonne maîtrise de la langue.
On sait que tu es né en Autriche. Pourquoi n'as-tu pas choisi, par exemple, la nationalité autrichienne?
-Pour obtenir la citoyenneté de l’Autriche il est nécessaire de respecter certaines conditions. Par exemple, vivre quelque temps dans ce pays. Comme mon père jouait en Croatie à l'époque, je devais suivre le chef de famille.
Dans quelques jours, nous jouons nos premiers matches de la Ligue des champions. Qu'en penses-tu?
- Ce sera certainement difficile. Nous ne devons pas penser de deuxième tour maintenant, nous devons être bien concentrés sur l’équipe géorgienne. À mon avis, c’est une approche juste et professionnelle.
A votre avis, quel est le sens de football?
- Devenir un champion quelle que soit la ligue.
Notre équipe compte de nombreux Croates. A ton avis, est-ce un avantage pour toi?
- Cela ne donne pas un grand avantage. D'une part, il n’y a pas de barrières linguistiques et les connexions au sein de l'équipe sont établies plus rapidement. D'autre part, l'entraîneur demandera des efforts immences de ma part. Et si vous ne justifiez pas ses priorités, la compétition au sein de l’équipe fera son travail.
Tu as joué en Écosse. Quelles sont tes souvenirs de cette période de ta carrière?
- Support exceptionnel des supporters au stade, des traditions uniques qui donnent au football local une saveur inoubliable.
En Moldavie, les supporters ne sont pas tellement actifs.
- En Bretagne, il s’agit d’une tradition qui existe depuis plus d’un siècle. Les enfants sont élevés dans cet esprit, puis continuent à élever leurs enfants de la même manière. Dans les autres pays, il n’y a pas de telles traditions et, si je comprends bien, en Moldavie également. Il reste à montrer un beau football et marquer plus de buts. Peut-être nous attirerons plus de fans à nos côtés.
Service de presse du FC Sheriff