L’attaquant moldave du FC “Sheriff” Igor Picusceac qui vient de signer avec les “jaune-noir” a accordé une interview au site officiel du club.
 
- J’avais quelques options de la continuation de ma carrière, mais j’ai décidé de rester dans ma ville natale, à Tiraspol. Je suis ravi de redevenir le joueur du FC “Sheriff”. Je me suis formé comme un footballaeur dans cette équipe. Je veux aider à “Sheriff”d’atteindre de grands objectifs.
 
Quels changements as-tu remarqué à “Sheriff”?
Il est important que le club a gardé une approche professionnelle. C’est normal d’avoir les changements.  
 
Est-ce que tu t’intéressais aux performances du FC “Sheriff” quand tu étais en Russie?
J’étais toujours au courant. J’ai vu quelques matches du “Sheriff” en compétitions européennes, surtout quand l'équipe a joué dans la phase de groupes de l’Europa League.
 
Tu as fais quelques années dans le championnat russe. Quelles sont tes meilleures mémoires?
Après le FC “Sheriff” j’ai signé en Chine, mais je me suis trouv bien vite au FC “Krasnodar”, et quelques années plus tard, j’ai signé avec “Amkar”. C’était tout un autre football, les autres sentiments, un autre niveau. Je me souviens qu’en 2011 “Krasnodar” est entré en Première Ligue de la Russie, c’était important non seulement pour le club mais aussi pour moi personnellement. L’attitude envers le football en Russie diffère de celle en Moldavie.
 
Tu n’as pas pu prendre part dans les matches contre le FC “Odd”. Est-ce que c’était difficile de s’inquiéter pour l'équipe de tribunes en sachant que tu ne peux pas aider tes coéquipiers?
Je voudrais aider mes coéquipiers, mais il faut reconnaître que je ne suis pas dans ma meilleure forme. Je gardais bon espoir de pouvoir continuer notre performance dans la compétiotion européenne.

Quel est l'état d'esprit actuel de l'équipe?
Il est évident que tous sont déprimés à cause du résultat final de l’Europa League. Cependant, il ne faut pas baisser les bras comme il nous faut disputer le Championnat de Moldavie. À mon avis, cela sera intéressant.
 
Est-ce que tu veux revenir à l'équipe nationale?
Je n’ai pas quitté l’équipe nationale. L’entraîneur ne me convoque pas ces derniers temps, mais c’est sa vision. Je veux jouer pour l'équipe nationale, alors je vais travailler pour changer l’opinion de l'entraîneur.
 
Service de presse du FC “Sheriff”